Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu et les annonces, d'offrir des fonctionnalités relatives aux médias sociaux et d'analyser notre trafic. Nous partageons également des informations sur l'utilisation de notre site avec nos partenaires de médias sociaux, de publicité et d'analyse, qui peuvent combiner celles-ci avec d'autres informations que vous leur avez fournies ou qu'ils ont collectées lors de votre utilisation de leurs services. Vous consentez à nos cookies si vous continuez à utiliser notre site Web.

Critique de film : Polaroïd

Résumé du film Polaroïd (2019) : Après avoir réalisé des photos avec un vieux polaroïd qu’elle a trouvé, Bird Fitcher se rend rapidement compte que quelque chose cloche… En effet, les personnes sur les clichés semblent toutes rencontrer un destin funeste.
Ressenti : Lars Klevberg nous plonge au coeur d’un teenager movie où un vieil appareil photo réserve un sort funeste à celui qui se fait prendre en photo. Polaroïd démarre sur les chapeaux de roues avec une scène d’ouverture qui nous donne déjà une petite idée de ce que nous allons découvrir et autant y aller franco, ça ne s’annonce pas très positif. Le réalisateur propose une intrigue qui aurait pu plaire si le scénario n’était si prévisible et redondant. Même la tension peine à s’installer. Avec un casting si fourni, il n’est pas rare de retrouver des personnages emblématiques pour rendre le film bien cliché, mais l’actrice principale Kathryn Prescott (The hive), parvient à interpréter son rôle de manière plutôt convaincante et naturelle. C’est une des raisons qui pousse à poursuivre l’histoire jusqu’au bout, espérant que quelque chose de renversant ou de surprenant arrive. Ce ne sera jamais le cas et c’est exactement ce que je reproche à ce long-métrage. Très rapidement, son manque d’originalité lui fera vite défaut et pour couronner le tout, la plupart des scènes qui pourraient s’avérer divertissantes nous sont cachées. Il n’y a au final peu de choses sur lequel se raccrocher. C’est dommage parce que je pense que Lars Klevberg avait de nombreuses cartes en main pour nous satisfaire mais a peut-être souhaité rester dans la simplicité pour son premier long-métrage. Au final, Polaroid n’offre rien d’exceptionnel visuellement hormis un sentiment de frustration.

Titre : Polaroïd (2019)
Première sortie : 9 août 2019
Réalisateur : Lars Klevberg
Box-office : 1,7 million USD
Bande originale : Phil Giffin
Scénario : Blair Butler

Note : 2/5 – Note DM 1.5/5 Critiques

Bande Annonce :

By Frere Yannick

Grand passionné de Films d'horreur et fantastique depuis des décenniesRédacteur, Critique, Webmaster ainsi que de la création de futurs projets et évènements ayant rapport avec le cinéma d'horreur en Belgique .

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Related Posts